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144 J Fonds de l'entreprise COSMETIC 41.

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    • Présentation
      Fonds de l'entreprise COSMETIC 41 (matériels et équipements pour salons de coiffure et beauté).
    • Introduction

      Le fonds de l'entreprise COSMETIC 41 a été pris en charge par les Archives départementales en application de l'article L. 642-23 du code du commerce, suite à la liquidation judiciaire de la société par Me Lavallart. Il représente un volume faible, environ 30 cm d'archives : de nombreuses éliminations ont en effet été pratiquées, portant essentiellement sur les pièces comptables justificatives (à l'origine le fonds comptait 2.70 ml de documents). La société COSMETIC 41, créée en 1987, n'a été en activité que très peu de temps, faisant faillite dès 1988 (mise en défaut de paiement et interdit bancaire). Son objet initial (cf. les statuts de la société en 144 J 1) était d'alimenter les salons de coiffure et de beauté de tout le département du Loir-et-Cher en fournitures et équipements. L'entreprise était installée dans la zone commerciale de la Patte d'Oie à Saint-Gervais-la-Forêt, dans la périphérie de Blois. Le fonds 144 J témoigne avant tout du fonctionnement de cette société : comptabilité, gestion du personnel, location d'un local. Il constitue un bon exemple d'archives d'une petite entreprise commerciale. À travers les factures impayées et quelques correspondances acerbes, on peut aussi y voir, plus tristement, les difficultés que rencontrent très vite les gérants de COSMETIC 41. Les archives de cette entreprise offrent aussi des informations sur un certain nombre de salons de coiffures du Loir-et-Cher, pour qui COSMETIC 41 a travaillé : les dossiers de clients présentent ainsi bon nombre de plans et de croquis de ces salons. Le régime de communicabilité des documents composant le fonds est calqué sur celui des archives publiques défini aux articles L-213-1 et L-213-2 du code du Patrimoine modifiés par la loi n°2008-696 du 15 juillet 2008 - art. 17. À ce titre, les dossiers de personnel sont notamment soumis à un délai de 50 ans. Il est à noter que la communicabilité des dossiers n'implique pas l'autorisation systématique de reproduction des documents, qui reste, quant à elle, en permanence soumise à l'accord du président de salle.