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Minute du traité passé à Paris en l'Hôtel des fermes du roi, entre Louis Dietrich et les traitants (parmi lesquels Charles Guillaume Le Normant) pour la levée des impôts des fermes des duchés de Lorraine et de Bar (10 août 1750). Fragment d'un livre de comptes semblant avoir appartenu à Charles Guillaume le Normant (vers 1748-1753).
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Marie Victoire Hortense de la Tour d'Auvergne, duchesse de La Trémoille, agissant comme tutrice de son fils Charles Godefroy, cède à la marquise de Pompadour la chapelle Notre-Dame de Tongres en l'église des Capucines à Paris (22 août 1748). Lettre de l'abbesse des Capucines à la marquise de Pompadour pour lui signifier son acceptation d'inhumer sa fille dans la chapelle acquise par elle (11 octobre 1754). Contrat d'une rente versée par la marquise de Pompadour aux Capucines à charge de faire dire une messe par mois pendant 80 ans (5 juillet 1755).
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Lettre autographe non signée à Colin, son homme d'affaires, de la marquise de Pompadour, qui veut à tout prix acheter une maison : "voyez le marchand qui occupe la maison, résiliez-lui le bail qu'il sorte le plus tôt possible quand il faudrait lui donner une petite gratification...", cachet ( 26 février 1756). Réponse de Colin : "on ne peut obliger un marchand à quitter son établissement d'un quart d'heure à l'autre... cette voie d'autorité peut-être entrainerait la ruine de ce particulier, n'étant point du tout analogue à la beauté de votre âme..." (26 février 1756)
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La marquise de Pompadour donne congé par huissier à Ferrand, maraîcher, et sa femme, d'un marais et d'une maison dont ils sont locataires Grande rue du Faubourg Saint-Honoré, entre l'hôtel de Pompadour, ci-devant hôtel d'Evreux, "faisant partie des terrains, marais et bâtiments que ma dite dame duchesse de Pompadour vient d'acquérir" (6 juin 1755).
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Verrerie de Sèvres, correspondance adressée à Marigny. Lettre de Sartine, lieutenant général de police, à Marigny : "chez les marchands de vin... on en a trouvé un très grand nombre qui se servaient pour leur débit de leur vin de bouteilles trop petites. plusieurs ont prétendu que c'était la faute du directeur de la verrerie de Sèvres..." (29 décembre 1773). Réponse de Marigny : "Je n'aurais jamais imaginé qu'un seul des marchands pût être assez imprudent pour chercher d'inculper la fabrication qui se fait chez moi, après les procès-verbaux multipliés qui ont constaté l'exactitude de cette fabrication..." (janvier 1774). Un ancien employé de la verrerie de Chaumont-sur-Loire "ayant appris que la verrerie de M. le marquis de Marigny avait cessé de travailler
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MENARS.- Correspondance adressée par Marigny et Cuvillier à Elie de Beaumont, avocat au Parlement et intendant des finances du comte d'Artois, pour tenter de régler le différend qui oppose Marigny et Cuvillier, son créancier (1778-1780). "Tableau des sommes que que M. Cuvillier, premier commis des bâtiments du roy, a à réclamer sur monsieur le marquis de Marigny, pour solde de l'administration de confiance exercée par M. Cuvillier, pour monsieur le marquis" (21 août 1774). Historique de l'affaire Vahiny, rédigée par Marigny ( 1776-1778). Deux billets de Louis XVI (l'un autographe) pour "rassurer le marquis de Marigny, sur la crainte qu'il a que le rapport qui lui a était fait du libelle diffamatoire des Vahiny ne lui a laissé aucune impression désavantageuse
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MENARS.- Correspondance échangée entre Marigny, d'Angiviller, directeur général des bâtiments et jardins du roi, Montucla, premier commis des bâtiments du roi et le sculpteur Dupré, au sujet d'un échange que Marigny veut faire de vases porphyre contre des blocs de marbre provenant du magasin du roi (1777-1780). Lettre de Montucla à Marigny parlant des "R. M." : ce sont vraisemblablement les Récréations Mathématiques d'Ozanam qu'il a eues à corriger ( 5 octobre 1779). "Etat des marbres à délivrer pour M. le Marquis de Menars" (17mai 1778). "Historique de mon échange avec le roi de deux vases de porphyre montés en bronze doré et de mon arrangement avec le Sieur Bocciardi, sculpteur marbrier" (s.d.). "Devis, marché, clauses et conditions faites entre Monsieur l
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MENARS.- Didier Lecuyer, procureur au Parlement, est nommé tuteur à la substitution portée au testament et codicille de la marquise de Pompadour (16 février 1765). Esprit François Henry, marquis de Castellane, et Charlotte Louise Charron de Menars, son épouse, vendeurs à la marquise de Pompadour des terres de Menars et Nozieux, font transport à Pierre Bourgeois d'une rente constituée par la marquise de Pompadour (16 mars 1768). Marigny constitue une rente pour le même Pierre Bourgeois (28 février 1769). Notoriété après le décès de Pierre Bourgeois et partage entre ses enfants de la rente constituée par Marigny (26 février 1780). Titre nouveau par Jeanne Marguerite Courtet d'Autreville, au nom de Gabriel Poisson de Malvoisin, son époux, par Augustin Félix Eli
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MENARS.- Administration de Menars (An VI-1820). Tableaux des revenus, recettes et dépenses du domaine de Menars (1805-1810). Factures et quittances (An VI-1803). Différends à régler avec des acquéreurs de biens nationaux (An XI-1820). Etat des inscriptions trouvées à la transcription du contrat de vente de la terre de Menars (s.d.).
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Par voie d'huissier, François Lemoyne, postillon de la chaise du roi, s'oppose à ce que Alissant Duchazel, payeur des rentes de l'hôtel de ville de Paris, paye quelqu'arrérage de rente que ce soit à Charles Vincent Barrin de La Gallissonnière (13 février-1762). Par voie d'huissier, le même réclame 425 livres pour 18 mois d'arrérages de rente qui lui sont dûs par le même (23 octobre 1762).
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