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Plans du domaine et du château de Ménars.

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  • 25 J 3-4 - Domaine de Menars, marquise de Pompadour, marquis de Marigny et succession. 1741-1971
    Personne : MARIGNY (ABEL FRANCOIS POISSON DE VANDIERES, MARQUIS DE), POMPADOUR (JEANNE ANTOINETTE POISSON, MARQUISE DE)

    • 25 J 3/1 - Minute du traité passé à Paris en l'Hôtel des fermes du roi, entre Louis Dietrich et les traitants (parmi lesquels Charles Guillaume Le Normant) pour la levée des impôts des fermes des duchés de Lorraine et de Bar (10 août 1750). Fragment d'un livre de comptes semblant avoir appartenu à Charles Guillaume le Normant (vers 1748-1753). 1748-1753
      Personne : LE NORMANT D'ETIOLLES (CHARLES GUILLAUME), DIETRICH (LOUIS)

    • 25 J 3/2 - Contrat de mariage entre Charles Guillaume Le Normant et Jeanne Antoinette Poisson (4 mars 1741). Règlement de la séparation des biens entre Charles Guillaume Le Normant, fermier général et Jeanne Antoinette Poisson (juin-août 1745). 1741-1745
      Personne : LE NORMANT D'ETIOLLES (CHARLES GUILLAUME), POMPADOUR (JEANNE ANTOINETTE POISSON, MARQUISE DE)

    • 25 J 3/3 - Marie Victoire Hortense de la Tour d'Auvergne, duchesse de La Trémoille, agissant comme tutrice de son fils Charles Godefroy, cède à la marquise de Pompadour la chapelle Notre-Dame de Tongres en l'église des Capucines à Paris (22 août 1748). Lettre de l'abbesse des Capucines à la marquise de Pompadour pour lui signifier son acceptation d'inhumer sa fille dans la chapelle acquise par elle (11 octobre 1754). Contrat d'une rente versée par la marquise de Pompadour aux Capucines à charge de faire dire une messe par mois pendant 80 ans (5 juillet 1755). 1748-1755
      Personne : POMPADOUR (JEANNE ANTOINETTE POISSON, MARQUISE DE), LE NORMANT D'ETIOLLES (ALEXANDRINE), LA TREMOILLE (JEAN BRETAGNE CHARLES GODEFROY), LA TOUR D'AUVERGNE (MARIE VICTOIRE HORTENSE DE), DUCHESSE DE LA TREMOILLE

    • 25 J 3/4 - Lettre autographe non signée à Colin, son homme d'affaires, de la marquise de Pompadour, qui veut à tout prix acheter une maison : "voyez le marchand qui occupe la maison, résiliez-lui le bail qu'il sorte le plus tôt possible quand il faudrait lui donner une petite gratification...", cachet ( 26 février 1756). Réponse de Colin : "on ne peut obliger un marchand à quitter son établissement d'un quart d'heure à l'autre... cette voie d'autorité peut-être entrainerait la ruine de ce particulier, n'étant point du tout analogue à la beauté de votre âme..." (26 février 1756) 1756-
      Personne : POMPADOUR (JEANNE ANTOINETTE POISSON, MARQUISE DE), COLIN

    • 25 J 3/5/1 - Minute de congé donné par huissier à madame de Mainville demeurant en une maison rue Saint-Marc à Paris, appartenant à madame de Pompadour (13 novembre 1751). 1751-
      Personne : POMPADOUR (JEANNE ANTOINETTE POISSON, MARQUISE DE), MAINVILLE (MADAME DE)

    • 25 J 3/5/2 - Congé donné par huissier à Masson de Courseilles, grand maître des Eaux et Forêts de Compiègne, d'une maison sise rue de Richelieu à Paris, appartenant conjointement à la marquise de Pompadour et au marquis de Marigny (29 juillet 1752). 1752-
      Personne : MARIGNY (ABEL FRANCOIS POISSON DE VANDIERES, MARQUIS DE), POMPADOUR (JEANNE ANTOINETTE POISSON, MARQUISE DE), MASSON DE COURSEILLES

    • 25 J 3/5/3 - Procédure au sujet de l'hôtel d'Evreux (aujourd'hui palais de l'Elysée) acquis par la marquise de Pompadour, condamnation et appel (mai-juin 1755). 1752-
      Personne : POMPADOUR (JEANNE ANTOINETTE POISSON, MARQUISE DE)

    • 25 J 3/5/4 - La marquise de Pompadour donne congé par huissier à Ferrand, maraîcher, et sa femme, d'un marais et d'une maison dont ils sont locataires Grande rue du Faubourg Saint-Honoré, entre l'hôtel de Pompadour, ci-devant hôtel d'Evreux, "faisant partie des terrains, marais et bâtiments que ma dite dame duchesse de Pompadour vient d'acquérir" (6 juin 1755). 1755-
      Personne : POMPADOUR (JEANNE ANTOINETTE POISSON, MARQUISE DE), FERRAND, MARAICHER

    • 25 J 3/5/5 - Saisie conservatoire à la requête de Claude Branchard, marchand de tuiles à Montereau-Faut-Yonne, contre Jacques Billot, maître couvreur à Paris, entre les mains de la marquise de Pompadour, laquelle ne peut disposer des tuiles sans être réputée débitrice (2 septembre 1756). 1756-
      Personne : POMPADOUR (JEANNE ANTOINETTE POISSON, MARQUISE DE), BILLOT (JACQUES), BRANCHARD (CLAUDE)

    • 25 J 3/6 - Vente d'une maison sise à Saint-Ouen Grande Rue par Louis Armand Eugène de Thuret à Pierre Jean Joseph Bretonnier, au profit de la marquise de Pompadour ; rachat par Bretonnier après saisie sur lui-même 1758-1759
      Personne : POMPADOUR (JEANNE ANTOINETTE POISSON, MARQUISE DE), THURET (LOUIS ARMAND EUGENE DE), BRETONNIER (PIERRE JEAN JOSEPH)

    • 25 J 3/7 - MENARS.- Deux quittances de rente signées "Jeanne Antoinette Poisson de Pompadour" (1er juillet 1762) 1762-
      Personne : POMPADOUR (JEANNE ANTOINETTE POISSON, MARQUISE DE)

    • 25 J 3/8 - Bail par Marigny d'une maison sise à Paris rue Saint-Honoré, face à l'église Saint-Roch, dont il est usufruitier par un brevet du roi (3 février 1776). Transport du bail de la même maison (1er mars 1776). 1776-
      Personne : MARIGNY (ABEL FRANCOIS POISSON DE VANDIERES, MARQUIS DE)

    • 25 J 3/9 - Verrerie de Sèvres, correspondance adressée à Marigny. Lettre de Sartine, lieutenant général de police, à Marigny : "chez les marchands de vin... on en a trouvé un très grand nombre qui se servaient pour leur débit de leur vin de bouteilles trop petites. plusieurs ont prétendu que c'était la faute du directeur de la verrerie de Sèvres..." (29 décembre 1773). Réponse de Marigny : "Je n'aurais jamais imaginé qu'un seul des marchands pût être assez imprudent pour chercher d'inculper la fabrication qui se fait chez moi, après les procès-verbaux multipliés qui ont constaté l'exactitude de cette fabrication..." (janvier 1774). Un ancien employé de la verrerie de Chaumont-sur-Loire "ayant appris que la verrerie de M. le marquis de Marigny avait cessé de travailler par une contestation qui s'était élevée entre les fermiers et que M. le marquis de Marigny pensait reprendre la verrerie et la faire valoir à son profit, le désir de... mettre ses talents en évidence lui a fait prendre la résolution de chercher à se faire connaître" (29 janvier 1774). Réponse de Belot, directeur de la verrerie : "il n'y a eu ici ni mouvement ni contestation, et tout y est tel qu'il doit y être" (5 février 1774). Lettre de Belot à Marigny : " La reine est venue ici le 26 juin, elle y a resté près d'une heure, a paru s'y amuser... le grand feu ne l'a point effrayé et de toutes les dames que j'ai vu venir ici elle est presque la seule qui en soit sortie plus instruite qu'elle n'y était entrée..." (17 juillet 1776). Lettre de Belot à Marigny : " La Seine est si basse qu'il y a lieu de craindre que les bâteaux de charbon ne puissent à leur sortie du canal arriver ici... la Loire a été huit mois sans eau..." (7 novembre 1776). 1773-1777
      Personne : SARTINE (ANTOINE RAYMOND DE), BELOT, DIRECTEUR DE LA MANUFACTURE DE SEVRES, MARIGNY (ABEL FRANCOIS POISSON DE VANDIERES, MARQUIS DE), MARIE-ANTOINETTE, REINE DE FRANCE

    • 25 J 3/10 - MENARS.- Correspondance adressée par Marigny et Cuvillier à Elie de Beaumont, avocat au Parlement et intendant des finances du comte d'Artois, pour tenter de régler le différend qui oppose Marigny et Cuvillier, son créancier (1778-1780). "Tableau des sommes que que M. Cuvillier, premier commis des bâtiments du roy, a à réclamer sur monsieur le marquis de Marigny, pour solde de l'administration de confiance exercée par M. Cuvillier, pour monsieur le marquis" (21 août 1774). Historique de l'affaire Vahiny, rédigée par Marigny ( 1776-1778). Deux billets de Louis XVI (l'un autographe) pour "rassurer le marquis de Marigny, sur la crainte qu'il a que le rapport qui lui a était fait du libelle diffamatoire des Vahiny ne lui a laissé aucune impression désavantageuse sur son compte", sur les deux billets, contreseing d'Angeviller, directeur général des bâtiments et jardins du roi. Lettre de Lenoir, lieutenant de police, invitant Marigny à payer 28 livres "comme frais de contumace puisqu'il n'avait pas constitué de procureur" alors qu'il était attaqué par la veuve de Vahiny à cause de "2 bronzes antiques, l'un représentant Neptune et l'autre Pluton, qui lui avait été laissés par le feu Sieur Sarreau de Vahiny... sous des conditions qu'il n'a point rempli, il sera condamné à lui payer la somme de 2.400 livres..." (9 octobre 1778). 1774-1780
      Personne : VAHINY, PREMIER COMMIS DES BÂTIMENTS DU ROI, CUVILLIER (CHARLES ETIENNE GABRIEL), PREMIER COMMIS DES BÂTIMENTS DU ROI, BEAUMONT (ELIE DE), AVOCAT AU PARLEMENT DE PARIS, LOUIS XVI, MARIGNY (ABEL FRANCOIS POISSON DE VANDIERES, MARQUIS DE)

    • 25 J 3/11 - MENARS.- Correspondance échangée entre Marigny, d'Angiviller, directeur général des bâtiments et jardins du roi, Montucla, premier commis des bâtiments du roi et le sculpteur Dupré, au sujet d'un échange que Marigny veut faire de vases porphyre contre des blocs de marbre provenant du magasin du roi (1777-1780). Lettre de Montucla à Marigny parlant des "R. M." : ce sont vraisemblablement les Récréations Mathématiques d'Ozanam qu'il a eues à corriger ( 5 octobre 1779). "Etat des marbres à délivrer pour M. le Marquis de Menars" (17mai 1778). "Historique de mon échange avec le roi de deux vases de porphyre montés en bronze doré et de mon arrangement avec le Sieur Bocciardi, sculpteur marbrier" (s.d.). "Devis, marché, clauses et conditions faites entre Monsieur le Marquis de Menars et le sieur Le Terrier sculpteur marbrier à Paris" (8 décembre 1779). 1778-1780
      Personne : MARIGNY (ABEL FRANCOIS POISSON DE VANDIERES, MARQUIS DE), D'ANGIVILLER (CHARLES CLAUDE FLAHAUT DE LA BILLARDERIE), DIRECTEUR GENERAL DES BATIMENT DU ROI, MONTUCLA, PREMIER COMMIS DES BÂTIMENTS DU ROI, DUPRE (NICOLAS FRANCOIS), SCULPTEUR

    • 25 J 3/12 - MENARS.- Correspondance échangée entre Marigny, Legros, horloger de la reine, et Lépine, horloger du roi : Legros propose à Marigny de lui vendre 30 louis la même pendule que celle qui lui a déjà été vendue 80 louis par Lépine (1777-1780). Marigny a des dettes envers Legros (1777-1780). 1777-1780
      Personne : MARIGNY (ABEL FRANCOIS POISSON DE VANDIERES, MARQUIS DE), LEPINE, HORLOGER DU ROI, LEGROS, HORLOGER DE LA REINE

    • 25 J 3/13 - MENARS.- Deux lettres adressées à Marigny, qui doit payer une rente sur la terre de Varise (actuel canton d'Orgères, département d'Eure-et-Loir), en tant que propriétaire du pavillon de Bercy (1780). 1780-
      Personne : MARIGNY (ABEL FRANCOIS POISSON DE VANDIERES, MARQUIS DE)

    • 25 J 3/14 - MENARS.- Marigny constitue Pierre Jacques Proust de la Pierdière son procureur pour toucher des arrérages de rentes (21 juillet 1779). Proust reconnaît que Marigny lui a remis quittance ( 20 janvier 1781). 1779-1781
      Personne : MARIGNY (ABEL FRANCOIS POISSON DE VANDIERES, MARQUIS DE), PROUST (PIERRE JACQUES)

    • 25 J 3/15 - MENARS.- Quittance pour le paiement de travaux de serrurerie faits au château de Menars et ses dépendances (1769-1783). Mémoires et quittance pour des travaux de serrurerie faits en l'hôtel de Marigny, rue Fromenteau (1769-1780). 1769-1783
      Personne : MARIGNY (ABEL FRANCOIS POISSON DE VANDIERES, MARQUIS DE)

    • 25 J 3/16 - MENARS.- Didier Lecuyer, procureur au Parlement, est nommé tuteur à la substitution portée au testament et codicille de la marquise de Pompadour (16 février 1765). Esprit François Henry, marquis de Castellane, et Charlotte Louise Charron de Menars, son épouse, vendeurs à la marquise de Pompadour des terres de Menars et Nozieux, font transport à Pierre Bourgeois d'une rente constituée par la marquise de Pompadour (16 mars 1768). Marigny constitue une rente pour le même Pierre Bourgeois (28 février 1769). Notoriété après le décès de Pierre Bourgeois et partage entre ses enfants de la rente constituée par Marigny (26 février 1780). Titre nouveau par Jeanne Marguerite Courtet d'Autreville, au nom de Gabriel Poisson de Malvoisin, son époux, par Augustin Félix Elisabeth Barrin de la Gallissonnière et Jeanne Charlotte Poisson de Malvoisin, son épouse, d'une rente à Pierre Mathieu Boucher et Nicole Thérèse Bourgeois, son épouse (15 juin 1789). Extrait de l'acte de décès de Marigny (12 mai 1781). Jeanne Marguerite Courtet d'Autreville, épouse de Gabriel Poisson de Malvoisin, renonce à la succession de la terre de Ménars (19 août 1781). Arrêt du Parlement qui nomme le tuteur d'Auguste Poisson de Malvoisin, âgé de 12 ans ( 29 août 1781). Correspondance entre notaires et héritiers (1765-1800). 1765-1800
      Personne : POMPADOUR (JEANNE ANTOINETTE POISSON, MARQUISE DE), CHARRON (CHARLOTTE LOUISE), CASTELLANE (ESPRIT FRANCOIS HENRY), MARQUIS DE, BOURGEOIS (PIERRE), POISSON DE MALVOISIN (GABRIEL), POISSON DE MALVOISIN (AUGUSTE), LA GALLISSSONNIERE (AUGUSTIN FELIX BARRIN DE), MARIGNY (ABEL FRANCOIS POISSON DE VANDIERES, MARQUIS DE)

    • 25 J 3/17 - Extrait de l'acte de mariage de Marie Françoise Julie Constance Filleul, veuve de Marigny, avec François de La Cropte, marquis de Bourzac (15 mars 1783). Une note à son sujet de la main du comte de La Gallissonnière (s.d.). 1783-
      Personne : FILLEUL (MARIE FRANCOISE JULIE CONSTANCE), LA CROPTE DE BOURZAC (FRANCOIS DE)

    • 25 J 3/18 - MENARS.- Estimation d'ouvrages indéterminés par Soufflot, fragment (1er février 1769). 2 billets autographes de Marigny (s.d.). 1769-
    • 25 J 4/1 - MENARS.- Correspondance adressée à Auguste Poisson de Malvoisin, par Lefevre, son homme d'affaires à Menars (1791-1792). 1791-1792
      Personne : POISSON DE MALVOISIN (AUGUSTE), LEFEVRE, REGISSEUR DE MENARS

    • 25 J 4/2 - MENARS.- Administration de Menars (An VI-1820). Tableaux des revenus, recettes et dépenses du domaine de Menars (1805-1810). Factures et quittances (An VI-1803). Différends à régler avec des acquéreurs de biens nationaux (An XI-1820). Etat des inscriptions trouvées à la transcription du contrat de vente de la terre de Menars (s.d.). 1798-1820
    • 25 J 4/3 - MENARS.- Correspondance adressée à Mme de La Gallissonnière, puis à son mari, par Fleury, intendant de Menars (An V-an XIII). 1797-1805
      Personne : POISSON DE MALVOISIN (JEANNE-CHARLOTTE), FLEURY, INTENDANT DE MENARS, LA GALLISSSONNIERE (AUGUSTIN FELIX BARRIN DE)

    • 25 J 4/4 - MENARS.- Correspondance adressée à Mme de La Gallissonnière, puis à son mari, par Massion, notaire et régisseUr de Menars, et quelques autres (An VII-1818). 1804-1818
      Personne : POISSON DE MALVOISIN (JEANNE-CHARLOTTE), LA GALLISSSONNIERE (AUGUSTIN FELIX BARRIN DE), MASSION, REGISSEUR DE MENARS

    • 25 J 4/5 - Par voie d'huissier, François Lemoyne, postillon de la chaise du roi, s'oppose à ce que Alissant Duchazel, payeur des rentes de l'hôtel de ville de Paris, paye quelqu'arrérage de rente que ce soit à Charles Vincent Barrin de La Gallissonnière (13 février-1762). Par voie d'huissier, le même réclame 425 livres pour 18 mois d'arrérages de rente qui lui sont dûs par le même (23 octobre 1762). 1762-
      Personne : LA GALLISSONNIERE (CHARLES VINCENT BARRIN DE), DUCHAZEL (ALISSANT)

    • 25 J 4/6 - MENARS.- Radiation de la liste des émigrés de Jeanne Charlotte Poisson de Malvoisin, épouse de La Gallissonnière (An III-an IX). 1795-1801
      Personne : POISSON DE MALVOISIN (JEANNE-CHARLOTTE)

    • 25 J 4/7 - MENARS.- Mémoires en faveur de Mme de La Gallissonnière, attaquée en justice en tant qu'héritière de la marquise de Pompadour à payer des dommages et intérêts à Latude, que cette dernière avait fait incarcérer (An V-an VI). Joint un article du Midi Libre sur la vie de Latude (14 février 1957). 1797-1957
      Personne : POISSON DE MALVOISIN (JEANNE-CHARLOTTE), LATUDE (JEAN HNERY DIT MAZER DE)

    • 25 J 4/8 - Correspondance adressée à Mme de La Gallissonnière par son mari (5 thermidor an IX-16 vendémiaire an XII). 1801-1802
      Personne : POISSON DE MALVOISIN (JEANNE-CHARLOTTE), LA GALLISSSONNIERE (AUGUSTIN FELIX BARRIN DE)

    • 25 J 4/9 - MENARS.- Succession de Mme de la Gallissonnière, remboursements de rentes, correspondance (1805-1814). 1805-1814
      Personne : POISSON DE MALVOISIN (JEANNE-CHARLOTTE)

    • 25 J 4/10 - Lettre adressée à La Gallissonnière par sa fille Amélie (1809). 1809-
      Personne : LA GALLISSSONNIERE (AUGUSTIN FELIX BARRIN DE), LA GALLISSONNIERE (AMELIE THERESE BARRIN DE)

    • 25 J 4/11 - Notes génélogiques sur les Poisson de Malvoisin, relevées par le colonel de Saizieu, et notes diverses du même.
      Personne : POISSON DE MALVOISIN (FAMILLE), SAIZIEU (COLONEL DE)