R de Saint Venant, op. cit., article Jousselinière (la). Situé sur la commune de Saint-Ouen, cet ancien fief relevait directement du château de Vendôme à foy et hommage. La famille du Bellay prêta foy et hommage pour cette terre jusqu'en 1633 où elle fut saisie sur Elisabeth de Beaumanoir et mise sous séquestre à la requête des créanciers jusqu'au début du XVIIIe siècle. Le 4 août 1703, l'adjudication eut lieu en faveur de Louis Roulleau (non indiqué dans Saint Venant), puis au seigneur de Nantouillet. Le 20 février 1779, la Jousselinière est vendue à Charles-Léon de Taillevis, sieur de Perrigny, Jupeaux, Mézière, époux de Marie-Madeleine de la Tuste, moyennant une rente foncière de 3450 livres remboursables à la volonté des acquéreurs pour la somme de 69000 livres. En 1789, la terre et la seigneurie de la Jousselinière est saisie sur Charles-Léon de Taillevis à la requête des créanciers hypothécaires et adjugé en 1792 au sieur Desjobert. R. Saint Venant, op. cit., article Bellay (du, Guillaume, 1491-1543). Catherine du Bellay, est la seconde fille de Martin du Bellay et Isabeau Chenu. Protestante et dame d'honneur de Jeanne d'Albret, elle épouse Charles de Beaumanoir, seigneur de Lavardin, un des chefs du parti protestant dans le Maine et le Vendômois, massacré à la Saint Barthélemy. Buissay, commune d'Auzé. Ancien fief relevant à foy et hommage de la seigneurie des créneaux de Thoré, puis du château de Vendôme. Le censif relevait de la Jousselinière. Jean du Bellay, vraisemblablement, il s'agit du quatrième fils de Hugues et d'Isabelle de Montigny, qui rend aveu en 1440 pour le fief de La Rivière de Lisle, chambellan du roi Louis XI.

R de Saint Venant, op. cit., article Jousselinière (la). Situé sur la commune de Saint-Ouen, cet ancien fief relevait directement du château de Vendôme à foy et hommage. La famille du Bellay prêta foy et hommage pour cette terre jusqu'en 1633 où elle fut saisie sur Elisabeth de Beaumanoir et mise sous séquestre à la requête des créanciers jusqu'au début du XVIIIe siècle. Le 4 août 1703, l'adjudication eut lieu en faveur de Louis Roulleau (non indiqué dans Saint Venant), puis au seigneur de Nantouillet. Le 20 février 1779, la Jousselinière est vendue à Charles-Léon de Taillevis, sieur de Perrigny, Jupeaux, Mézière, époux de Marie-Madeleine de la Tuste, moyennant une rente foncière de 3450 livres remboursables à la volonté des acquéreurs pour la somme de 69000 livres. En 1789, la terre et la seigneurie de la Jousselinière est saisie sur Charles-Léon de Taillevis à la requête des créanciers hypothécaires et adjugé en 1792 au sieur Desjobert. R. Saint Venant, op. cit., article Bellay (du, Guillaume, 1491-1543). Catherine du Bellay, est la seconde fille de Martin du Bellay et Isabeau Chenu. Protestante et dame d'honneur de Jeanne d'Albret, elle épouse Charles de Beaumanoir, seigneur de Lavardin, un des chefs du parti protestant dans le Maine et le Vendômois, massacré à la Saint Barthélemy. Buissay, commune d'Auzé. Ancien fief relevant à foy et hommage de la seigneurie des créneaux de Thoré, puis du château de Vendôme. Le censif relevait de la Jousselinière. Jean du Bellay, vraisemblablement, il s'agit du quatrième fils de Hugues et d'Isabelle de Montigny, qui rend aveu en 1440 pour le fief de La Rivière de Lisle, chambellan du roi Louis XI.

R. de Saint Venant, op. cit., article Perrine (la). Située sur la commune de Lunay, la Perrine est un ancien fief qui relève de la seigneurie de Villeprouvare. Aux XVe siècle, les seigneurs de Montellière, puis Guillaume Helie rendent hommage pour cette terre, au début du XVIe siècle, la famille de La Chataigneraie (suite à un mariage), puis en 1553 Jean Rouer, marchand qui l'achète. La fille de ce dernier épouse Raphaël de Taillevis. La Perrine est vendue vers 1765-1770 par la famille Taillevis à Hubert Conterot des Ormes.

R. de Saint Venant, op. cit., article Perrine (la). Située sur la commune de Lunay, la Perrine est un ancien fief qui relève de la seigneurie de Villeprouvare. Aux XVe siècle, les seigneurs de Montellière, puis Guillaume Helie rendent hommage pour cette terre, au début du XVIe siècle, la famille de La Chataigneraie (suite à un mariage), puis en 1553 Jean Rouer, marchand qui l'achète. La fille de ce dernier épouse Raphaël de Taillevis. La Perrine est vendue vers 1765-1770 par la famille Taillevis à Hubert Conterot des Ormes.

R. de Saint Venant, op.cit, article Roche Landault (la). Situé sur la commune d'Azé, cet ancien fief relevait à foy et hommage du duché de Vendôme.

R. de Saint Venant, op.cit, article Roche Landault (la). Situé sur la commune d'Azé, cet ancien fief relevait à foy et hommage du duché de Vendôme.

R. de Saint Venant, op. cit., article Périgny. Le premier seigneur de Périgny connu est Ascelin Chotard. A partir du XIVe siècle, les seigneurs de Périgny appartiennent à la famille du Plessis. La terre de Périgny est saisie entre les mains de Charles du Plesseys en 1637 et adjugée par décret à Guillemette de Langan, sa femme séparée de biens d'avec lui. Elle est retirée par lui en 1648 des héritiers de Guillemette de Langan sa femme, en faveur du fils qu'il a eu de sa seconde femme, Charles-François du Plesseys. A la mort de Charles du Plesseys, ses enfants renoncent à la succession. Sa seconde femme, Marie Herbelin, fait aveu de Périgny en 1650 et en 1671. Charles-François du Plesseys en possède réellement la seigneurie de Périgny qu'après le décès de sa mère. Il meurt sans héritier en 1719, Hercule-Charlemagne de Taillevis, son petit-neveu à la mode de Bretagne hérite.

R. de Saint Venant, op. cit., article Périgny. Le premier seigneur de Périgny connu est Ascelin Chotard. A partir du XIVe siècle, les seigneurs de Périgny appartiennent à la famille du Plessis. La terre de Périgny est saisie entre les mains de Charles du Plesseys en 1637 et adjugée par décret à Guillemette de Langan, sa femme séparée de biens d'avec lui. Elle est retirée par lui en 1648 des héritiers de Guillemette de Langan sa femme, en faveur du fils qu'il a eu de sa seconde femme, Charles-François du Plesseys. A la mort de Charles du Plesseys, ses enfants renoncent à la succession. Sa seconde femme, Marie Herbelin, fait aveu de Périgny en 1650 et en 1671. Charles-François du Plesseys en possède réellement la seigneurie de Périgny qu'après le décès de sa mère. Il meurt sans héritier en 1719, Hercule-Charlemagne de Taillevis, son petit-neveu à la mode de Bretagne hérite.

R. de Saint Venant, op. cit., article, Sublet (Michel). Sources complémentaires : ADLC, 21 H 8, prise de possession de l'abbaye de La Trinité par Michel Sublet, 21 H 14, 16, 24, baux de ferme et de dîmes de l'abbaye, 21 H 160, transaction concernant le prieuré de Lancone. Massuere, commune de Bessé, Sarthe?

R. de Saint Venant, op. cit., article, Sublet (Michel). Sources complémentaires : ADLC, 21 H 8, prise de possession de l'abbaye de La Trinité par Michel Sublet, 21 H 14, 16, 24, baux de ferme et de dîmes de l'abbaye, 21 H 160, transaction concernant le prieuré de Lancone. Massuere, commune de Bessé, Sarthe?

Cambrai, nord. Rue Martet, Paris.

Cambrai, nord. Rue Martet, Paris.

La Salle, La Poterie, communes de Mesnil-Thomas, Eure-et-Loir

La Salle, La Poterie, communes de Mesnil-Thomas, Eure-et-Loir