(71) La suscription précise que l'acte fut " remis par Rivé un an après l'acquêt du Buisson ".

(72)Un second exemplaire de cette pièce figure sous la cote 77 J 52.

(73) Cette liasse, qui comprend 17 pièces reliées ensemble, est l'une de celles, peu nombreuses, à conserver la forme qui lui fut donnée lors de l'inventaire Piercour, les cotations du jeune marquis Abel Alexis François et de la succession Belmont lui étant postérieures ; en dépit de son intitulé, elle inclut également des baux.

(74) Un état similaire figure sous la cote 77 J 52.

(75) Un état du même ordre figure sous la cote 77 J 52.

(76) Cette liasse, qui comprend 3 pièces non numérotées reliées ensemble, conserve la forme de l'inventaire Piercour.

(77) Cette liasse, qui comprend 5 pièces reliées ensemble, conserve la forme de l'inventaire Piercour.

(78) Cette liasse, qui comprend 3 pièces reliées ensemble, conserve la forme de l'inventaire Piercour.

(79) Cette liasse, qui comprend 5 pièces reliées ensemble, conserve la forme de l'inventaire Piercour.

(80) Ce dossier, dont les pièces étaient à l'origine reliées ensemble, a été placé à la suite de l'article 77 J 58 auquel il s'apparente étroitement et dont il a peut-être été dissocié à une date indéterminé.

(81) Cette liasse, qui comprenait 2 pièces associées dont une seule subsiste, conserve la forme de l'inventaire Piercour.

(82) Ainsi que nous l'avons indiqué dans notre introduction, ce document, détourné des archives Piercour à une date indéterminée, a été extrait de la cote 3 E 31

327 des Archives départementales de Loir-et-Cher (minutes de Me Derouzières) pour réintégrer le fonds de La Ferté-Imbault.

(83) Cette liasse, qui comprend une pièce unique, conserve la forme de l'inventaire Piercour.

(84) Cette liasse, qui comprend dix pièces reliées ensemble, conserve la forme de l'inventaire Piercour : on y trouve un extrait du procès-verbal d'estimation de la baronnie de La Ferté-Imbault dressé le 19 septembre 1741 dans le contexte du premier projet d'adjudication ; à noter la lettre reçue par le jeune marquis de Piercour le 13 décembre 1790, qui fait état du récent décès de Cécile Jeanne Blanchebarbe de Grandbourg, sa mère.

(85) Ces fermiers sont entrés en jouissance le 1er novembre 1752, un procès-verbal d'estimation ayant été établi les 7 novembre et jours suivants, et une première décharge leur a été donnée le 24 octobre 1761.

(86) Cette liasse, qui comprendrait 12 pièces reliées ensemble, conserve la forme de l'inventaire Piercour.

(87) N° du sommier : 777. Au sujet de cette numérotation, voir infra, note 88.

(89) N° du sommier : 763.

(90) N° du sommier : 771.

(91) N° du sommier : 623. (92) N° du sommier : 619. (93) N° du sommier : 615.

(94) N° du sommier : 625.

(95) N° du sommier : 629. Le bail de 1771 exclut Salbris.

(96) N° du sommier : 645.

(97) Cette liasse, comportant 19 pièces reliées ensemble, conserve la forme de l'inventaire Piercourt.

(98) Cette liasse, comportant 15 pièces auxquelles ont été ajoutées quatre autres contrats, le tout relié ensemble, conserve la forme de l'inventaire Piercour.

(99) Le lieu de la Réauté, dont les bâtiments ont été démolis avant 1740, a été réuni à celui des Aisses, qui sera acquis en 1825 par William Lee : bien que ces titres ne présentent pas de lien avec les possessions des marquis de La Ferté-Imbault au XVIIIe siècle, il a été jugé préférable, pour éviter d'impacter sur les dates extrêmes des dossiers de la période anglaise, de les réunir aux autres titres de rentes.

(100) Les pièces qui constituent ce dossier portent toutes la mention " Selles-Saint-Denis liasse 1ère A ", qui se distingue des cotations employées lors de la rédaction de l'Inventaire général des titres : il est plus que probable qu'elles n'aboutirent aux mains des Piercour qu'au début de la Révolution, avec la suppression du chapitre, et relèvent du système de cotations employé par celui-ci.

(104) Cet acte se présentant sous forme de rouleau est conservé séparément.

(106) Ces cinq pièces, reliées ensemble, portent toutes la mention " La Ferté-Imbault liasse 5 E ", relevant, tout comme les documents figurant sous la cote 77 J 112, des cotations du chapitre Saint-Thaurin : ces biens n'entrèrent en effet dans le patrimoine des Piercour qu'en 1791, lors de la dispersion des biens du chapitre.