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Rendez-vous de l'histoire 2018 : La puissance des images

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    • L’image pour le droit
        • L’image comme élément diplomatique

          La diplomatique est l’étude de la forme et des caractères internes et externes des actes. Elle nous renseigne, entre autres, sur le caractère authentique d’un document. Même si l’essentiel de l’information réside dans le texte, l’image et les éléments visuels peuvent être des éléments importants pour l’identification et l’authentification de l’acte : signature, sceaux, armoiries etc.


            • L'image écrite
              • Chirographe : transaction entre les religieux de l’abbaye de la Trinité de Vendôme et Ursion, seigneur de Fréteval
                Parchemin
                1214
                21 H 97
                1 vue  (ouvre la visionneuse)

                1 vue

                Apparu vers l’an mille, le chirographe est un acte établi en plusieurs exemplaires sur un même parchemin. Un mot, souvent le terme « Cyrographum » comme ici, est tracé entre les deux copies du texte avant que la charte ne soit découpée. Chaque protagoniste de l’acte conserve son exemplaire. Le rapprochement des parties permet de vérifier leur authenticité, et ainsi d’éviter les litiges.


              • Lettre de François-René de Chateaubriand au ministre de la Justice
                Papier
                1832
                2 U 3/37
                3 vues  - Lettre de François-René de Chateaubriand au ministre de la Justice (ouvre la visionneuse)

                3 vues

                Chateaubriand signe de son nom d’une façon très lisible cette lettre en faveur de Pierre-Antoine Berryer, avant de signer simplement « Ch » l’apostille qui suit. La signature est le moyen le plus répandu d’authentifier un document, mais plus que le nom, c’est l’image du texte, la graphie, qui permet de s’en assurer.


              • Sceaux et cachets
                • Bulle du pape Clément VII relative à un litige entre l’abbaye de Fontevrault et le seigneur de Freschines
                  Parchemin et plomb
                  1533
                  5 J 55
                  1 vue  (ouvre la visionneuse)

                  1 vue

                  Le terme de bulle désigne à la fois le document et le sceau de plomb qui l’authentifie. A l’avers, les effigies de saint Pierre et saint Paul, emblèmes de la papauté, sont séparées par une croix et les armes des Médicis, famille dont ce pape est issu. Au revers, une inscription désigne Clément VII, CLEMENS P[A]P[A] VII comme l’auteur du document.


                • Charte falsifiée de Louis, comte de Blois, reconnaissant aux moines de Thiron le droit de chasse sur leur territoire de Molineuf
                  Parchemin, cire (sceau)
                  1203 [fausse date], XVe siècle [fabrication ?]
                  20 H 5, pièce 10
                  1 vue  (ouvre la visionneuse)

                  1 vue

                  Les bénédictins de l’abbaye de Thiron sont réputés pour s’être attribués, à partir du XVe siècle, un certain nombre de droits seigneuriaux et fonciers par le biais de fausses chartes, réécrites ou créées de toutes pièces. Le sceau, habituel élément d’authentification des documents, est lui aussi contrefait d’une manière très convaincante.


                • Procès-verbal de tatouage des boisseaux du marché d’Herbault
                  Papier
                  1742
                  13 Bv 1
                  2 vues  - Procès-verbal de tatouage des boisseaux du marché d’Herbault (ouvre la visionneuse)

                  2 vues

                  Les boisseaux sont des récipients servant d’étalon à la mesure des grains sur le marché. Après vérification de leur contenance, on y met « l’anprinte d’un fer chax [chaud] où sont les armes de ce marquisat aussy bien que sur le fond [qu ?] en dedans », assurant ainsi leur authenticité.


                • Cachets de la sous-préfecture de Romorantin
                  Laiton et bois
                  XIXe siècle
                  OBJ 54, 55, 56
                  3 vues  - Cachets de la sous-préfecture de Romorantin (ouvre la visionneuse)

                  3 vues

                  Successeurs des sceaux, les cachets des administrations publiques évoluent au gré des changements de régime du pays : aigle napoléonien, armoiries royales, couronne de lauriers etc.


                • En-têtes
                  • Arrêts du conseil d’état du roi
                    Papier
                    1722-1788
                    200 J 45/1
                    6 vues  - Arrêts du conseil d’état du roi (ouvre la visionneuse)

                    6 vues

                    Les en-têtes illustrées ne confèrent pas d’authenticité au document mais renforcent visuellement la portée des décisions, notamment par la présence des symboles royaux (couronne, fleurs de lys etc.). Certaines vignettes adoptent une iconographie en lien avec le contenu : fiscal, religieux, maritime, etc.


                • L'image administrative

                  L’image est aussi un outil d’administration. Avant la Révolution Française, de nombreux seigneurs et congrégations religieuses font appel à des maîtres-arpenteurs pour cartographier les terres qui leur appartiennent. L’essentiel de leur travail consiste, grâce à leur maîtrise de la géométrie, à borner et à mesurer des parcelles afin d’en établir des procès-verbaux et des plans précis. Ce sont ces mêmes arpenteurs-géomètres qui sont à l’origine, à partir du XVIIIe siècle, de la mise en place de l’administration fiscale qui préfigure le futur cadastre napoléonien (1807) qui ne cessa d’évoluer jusqu’à ses formes les plus contemporaines.
                  En parallèle à la question de territoire, l’image administrative est intervenue aussi comme objet de validation. Ce fut le cas notamment pour illustrer des devis ou des expertises. Plus tard, dans les années 1920, l’image à visée patriotique qui glorifie les soldats tombés au front, s’illustre au travers des nombreux projets d’érection de monuments pour les morts de la Grande Guerre.


                    • De l’arpentage au cadastre
                      • Arpentage de huit arpents près de Bordebure [Averdon]
                        Papier, encre et aquarelle
                        1659
                        1 Fi 653/1
                        1 vue  (ouvre la visionneuse)

                        1 vue

                        Ce plan fait la description de huit arpents de prés à Bordebure et aux Tresseaux ainsi que d’autre terres dépendant de l'Hôtel Dieu de Blois. Il a été établi en avril 1659 par Pierre Vollant, maître arpenteur demeurant à Blois à la demande des Échevins de la ville, administrateurs des biens dont il est question.


                      • Plans et arpentages de la forêt du Petit Cîteaux
                        Registre sur papier
                        1734
                        24 H 9
                        11 vues  - Plans et arpentages de la forêt du Petit Cîteaux (ouvre la visionneuse)

                        11 vues

                        Dès la Haute Antiquité, autour du bassin méditerranéen d’abord, l’homme a cherché à mesurer la terre. La topographie qui consiste à représenter sur un plan ou sur une carte l’ensemble des détails et les superficies estimatives des parcelles, se développe au fil des siècles et se professionnalise fortement avec l’apparition de la corporation des arpenteurs (ancêtres des géomètres). Cet album contient des plans figurés et des arpentages de la forêt du Petit-Cîteaux (paroisses de La Colombe et d’Autainville). Il a été établi par « Martin François Petit, arpenteur général des Eaux et Forests de France au dit departement de Blois et de Berry ». La forêt de Cîteaux contient 771 arpents au total, soit environ 265 hectares actuels.


                      • Cadastre napoléonien de Blois
                        Papier, encre et aquarelle
                        1810
                        3 P 2/18/2
                        1 vue  (ouvre la visionneuse)

                        1 vue

                        La loi du 15 septembre 1807 définit le principe et les règles applicables pour l’établissement d’un « cadastre général parcellaire ». Elle est mise en application dès l’année suivante en Loir-et-Cher. Sur les plans, les conventions de représentation des routes, des champs et des bâtiments utilisent des tons d’aquarelles qui leur confèrent aujourd’hui une qualité esthétique. Sur cette planche cadastrale de Blois, la densité urbaine apparaît très nettement : les contours de chaque bâtiment sont représentés en rouge, les édifices publics en bleu à l’instar du château nettement reconnaissable sur cette planche.


                      • Vue aérienne de Blois
                        Photographie NB
                        ca 1960
                        104 Fi 258
                        1 vue  (ouvre la visionneuse)

                        1 vue

                        Les techniques d’établissement des plans cadastraux ont fortement évolué depuis l’époque napoléonienne. La photogrammétrie a pour but de définir la position dans l'espace, la forme et les dimensions d'un objet en utilisant essentiellement des mesures faites sur plusieurs photographies de ce dernier. Ainsi, une analyse très fine du bâti d’un secteur comme celui du château est ici rendue possible.


                      • Marchés, devis et rapports d’experts
                        • Devis illustré d'un calice pour l'église Saint-Martin de Vendôme
                          Papier
                          1598
                          G 2301
                          1 vue  (ouvre la visionneuse)

                          1 vue

                          Dans son testament, Esme Hamart, potier d’étain à Vendôme, fait un legs de 110 écus d’or au soleil (monnaie royale) à l’église Saint-Martin de Vendôme pour l’achat d’un calice d’or. Un devis accompagné d’un dessin est alors établi par Jean Roger, Pierre Gorron et Simon Charles, marchands orfèvres demeurant à Vendôme.


                        • Devis illustré du maître autel de l’église de Marchenoir
                          Papier
                          1806
                          F 398
                          1 vue  (ouvre la visionneuse)

                          1 vue

                          L’église primitive de Notre-Dame de Marchenoir qui date de la seconde moitié du XIIe siècle, a été entièrement remaniée au XVe siècle grâce au concours des comtes de Dunois, alors seigneurs de Marchenoir.
                          En 1793, les panneaux en lambris du maître autel connaissent les soubresauts révolutionnaires, « après avoir été barbouillé à cette époque de désastre ». Fortement détériorés, ils restent néanmoins dans l’église. En 1804, Chauvin l’aîné menuisier à Lorges et entrepreneur de travaux, se voit confier la réalisation des nouvelles boiseries.


                        • Rapport d’expert pour la mairie de Vouzon
                          Papier
                          1883
                          série Jv
                          3 vues  - Rapport d’expert pour la mairie de Vouzon (ouvre la visionneuse)

                          3 vues

                          À la requête de la mairie de Vouzon et sur décision du tribunal civil de Romorantin, M. Dufour, architecte et expert assermenté, est nommé pour procéder à la vérification de l’état d’avancement des travaux de la mairie et de la maison d’école, exécutés par M. Ferré architecte à Lamotte-Beuvron.


                        • Plan des monuments aux morts des communes de Vineuil et Bracieux
                          Papier
                          1922
                          112 Fi 301/50 (Vineuil) - 112 Fi 25/45 (Bracieux)
                          2 vues  - Plan des monuments aux morts des communes de Vineuil et Bracieux (ouvre la visionneuse)

                          2 vues

                          L’idée de commémorer la mémoire de soldats morts au combat au moyen de réalisations architecturales est antérieure à la Grande Guerre. Pourtant, c’est bien le traumatisme inédit que constitue 1914-1918 qui accélère les choses. Ainsi, dans l’immédiat après-guerre, fleurissent au centre des villages des monuments héroïsant la mémoire des soldats morts pour la France dans des représentations hautement patriotiques.


                      • L’image judiciaire

                        Jusqu’au début du XXe siècle, l’identification des personnes prend la forme d’un signalement matérialisé par des caractéristiques physiques. Il peut être enrichi de la filiation et de la date de naissance qui permettent d’individualiser l’intéressé.
                        Puis, grâce aux innovations techniques, le portrait photographique et les empreintes digitales incarnent l’identité, différenciant sans confusion possible un citoyen d’un autre.
                        Toutefois, l’image judiciaire ne se limite pas seulement à une fiche signalétique individuelle ou aux photographies imposées par les réglementations dans une logique d’identification, ni, par ailleurs aux dessins ou photographies géométriques des scènes de crime.
                        Elle peut se traduire par une mise en scène de la justice : cérémonial des exécutions par effigie consistant à appliquer une sentence par l’intermédiaire d’un double fictif représentant l’absent, mais aussi caricatures traditionnelles des accusés lors des procès ou photographies des prévenus encadrés de gendarmes.


                          • L’image mentale et symbolique
                            • Procès-verbal de levée de cadavre du nommé Paul Petiau
                              Papier
                              1788
                              38 Bv 3
                              2 vues  - Procès-verbal de levée de cadavre du nommé Paul Petiau (ouvre la visionneuse)

                              2 vues

                              A Blois le 31 juillet 1788, un marinier trouve le cadavre d’un inconnu sur la levée du Foix près de l’auberge de la Galère. Jacques Touzard, juge civil et criminel vient, accompagné de son greffier, constater le décès. Son procès-verbal détaille l’aspect du corps puis chaque pièce de vêtement. La fouille des poches permet d’identifier l’homme, natif de Dijon, comme Paul Petiau (1747-1788) dit Bourguignon grâce à son livret de compagnon et à un extrait de baptême conservé dans son portefeuille.


                            • Jugement pour fabrication et exposition de fausse monnaie
                              Papier
                              1733
                              1 B 610
                              3 vues  - Jugement pour fabrication et exposition de fausse monnaie (ouvre la visionneuse)

                              3 vues

                              Ce procès criminel tenu devant le bailliage de Blois concerne trois accusés Martin Renard, Antoine Brulard, prisonniers et Dejours, contumace. Le jugement par contumace est une pratique de l’Ancien Régime toujours d’actualité sous le terme de procédure de « défaut criminel », il permet le jugement et éventuellement la condamnation d'un accusé absent. Toutefois, le fait de procéder effectivement à l'exécution d'un condamné à mort lorsque ce dernier est absent peut étonner.
                              Les accusés sont condamnés à être pendus jusqu’à ce que mort s’ensuive avec un écriteau « Faux monnayeur » et exposés pendant 24 h à une potence élevée place publique du Bourg-Neuf. Le condamné absent quant à lui, subit sa sentence par « effigie en un tableau représentatif de sa personne qui sera attaché à la ditte potence par l’exécuteur de la haute justice ».


                              • "La pendaison de traîtres" (Musée national de Varsovie)
                                Jean-Pierre Norblin de La Gourdaine (1745-1830)
                                Huile sur toile
                                1794
                                1 vue  (ouvre la visionneuse)

                                1 vue

                                Cette œuvre représente une pendaison symbolique en place publique : les portraits des traitres de la confédération de Targowica, responsables du partage de la Pologne, sont accrochés au pilori sur la place du marché le 29 septembre 1794 lors de l’insurrection de Varsovie. Il s’agit probablement d’une exécution populaire avec des portraits sans doute soustraits aux accusés.


                              • Mannequin en uniforme allemand, représentant Pierre Laval, pendu à un arbre de la place Clemenceau à Montoire.
                                Dr Pierre Gamard
                                Photographie NB. Reproduction numérique
                                1944
                                126 Fi 14
                                1 vue  (ouvre la visionneuse)

                                1 vue

                                Numéro deux du gouvernement de Vichy, Pierre Laval a un rôle capital dans la politique de collaboration menée par l’État français durant la seconde guerre mondiale. C’est lui qui le 22 octobre rencontre Hitler et Von Ribbentrop pour en préciser les principes et préparer l’entrevue du 24 octobre 1940 à Montoire entre Pétain et Hitler. Considéré comme le « collaborateur en chef », il est ici exécuté par le « tribunal du peuple » lors de la libération de la ville de Montoire.


                              • L’image, composante de l’identité
                                • Fiche anthropométrique de Julien Reinhard
                                  Papier, photographie
                                  1940
                                  4 M 151
                                  2 vues  - Fiche anthropométrique de Julien Reinhard (ouvre la visionneuse)

                                  2 vues

                                  La loi du 16 juillet 1912 institue le carnet anthropométrique d’identité des nomades. Tout nomade de plus de 13 ans doit obligatoirement détenir ce carnet individuel et le faire viser lors de son arrivée et de son départ d’une commune. Les normes de description anthropométrique ont été mises au point par Alphonse Bertillon (1853-1914) et appliquées dès 1882 par la Préfecture de police. En 1885, une photographie est ajoutée de manière systématique aux nouvelles fiches. Ce type de carnet initie la stigmatisation d’une catégorie de la population.


                                • Fiche dactyloscopique d’Alain Bourreau (1937-1956)
                                  Papier
                                  1955
                                  1765 W
                                  1 vue  (ouvre la visionneuse)

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                                  Les études des caractéristiques particulières des traces papillaires, véritables signatures corporelles propres à chaque doigt et à chaque individu, décident Alphonse Bertillon à relever dès 1896 les empreintes digitales tout en conservant son système de classement anthropométrique. Cette fiche dactyloscopique établie en 1955 va permettre d’identifier un corps retrouvé à Limeray (Indre-et-Loire) en mars 1957 comme celui d’un homme disparu depuis le 21 décembre 1956 à Blois.


                                • Avis de recherche d’Émile Zola (1840-1902)
                                  Papier
                                  1898
                                  4 M 248
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                                  Après le procès qui le condamne à un an de prison pour sa « Lettre à M. Félix Faure », article accusateur de janvier 1898 relatif à l’affaire Dreyfus, Zola quitte la France pour s’exiler à Londres le 18 juillet 1898. La direction générale de la sûreté nationale diffuse alors le signalement de Zola et d’Alexandre Perreux, ancien gérant de l’Aurore, accompagné de deux photographies d’Émile Zola.


                                • Carte d’identité d’Abel Royer (1895-1967)
                                  Papier
                                  1940
                                  1 J 475
                                  1 vue  (ouvre la visionneuse)

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                                  La carte d’identité délivrée aux étrangers depuis 1917, est appliquée de manière facultative à chaque Français en septembre 1921, elle devient obligatoire pour tous avec la loi du 27 octobre 1940.


                                • Carte d’identité de Jacques Barbier (1907-1969)
                                  Papier
                                  1959
                                  1 J 219/5
                                  1 vue  (ouvre la visionneuse)

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                                  Préfet de Loir-et-Cher de février 1959 à décembre 1961, Jacques Barbier détient une carte délivrée par le ministère de l’intérieur lui permettant de justifier de sa qualité.


                                • L’image au tribunal
                                  • Triple assassinat de Bouffry, plan général des lieux
                                    Papier
                                    1890
                                    2 U 3/105
                                    1 vue  (ouvre la visionneuse)

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                                    Ce plan situe la maison de la famille Rebours aux Forêts et le chemin de Bouffry à la Chapelle-Vicomtesse. Le corps de Louis René Rebours, 64 ans, est découvert le 11 novembre 1890 à 35 mètres de son habitation et l’arme du crime est retrouvée dans la fosse.


                                  • Triple assassinat de Bouffry, plan de la scène de crime
                                    Papier
                                    1890
                                    2 U 3/105
                                    1 vue  (ouvre la visionneuse)

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                                    Ce dessin présente une vue intérieure de la chambre avec l’emplacement des corps de Marie Constance, 62 ans et Marie Louise, 32 ans, sa fille.


                                  • Triple assassinat de Bouffry, portrait de l’assassin
                                    Hippolyte Rouiller (1835-1900)
                                    Photographie monochrome
                                    1890
                                    2 U 3/105
                                    1 vue  (ouvre la visionneuse)

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                                    Louis Denis Rebours, 26 ans, neveu du couple, est arrêté le 13 novembre 1890 et jugé coupable le 3 mars 1891 de l’assassinat des trois membres de la famille Rebours perpétré au moyen d’un gouet (genre de grande serpe).


                                  • Procès de Denise Labbé et Jacques Algarron
                                    Agence presse intercontinentale
                                    Photographie NB
                                    1956
                                    11 Fi 4038
                                    1 vue  (ouvre la visionneuse)

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                                    Arrivée de Jacques Algarron encadré de gendarmes au palais de justice de Blois le 30 mai 1956 pour le procès d’assises des « amants de Vendôme », accusés d’infanticide. Jacques Algarron est accusé de la responsabilité morale du crime prémédité par Denise Labbé sur sa fille Cathy qu’elle a noyée le 6 novembre 1954 après trois vaines tentatives.